Non, il ne s’agit pas de se livrer à la descente des pistes à … 2 km/h, mais plutôt resituer la pratique du ski alpin au coeur d’un concept plus respectueux de l’environnement, plus responsable qui ambitionne de sensibiliser les vacanciers de l’hiver à l’alterconsommation.

Sortir des chemins battus en s’éloignant des 55 plus grandes stations françaises – qui concentrent à elles seules 69 % des journées ski vendues ces 4 dernières années – partir à la découverte de celles plus confidentielles et de leurs territoires, surveiller son bilan carbone, consommer local, loger chez l’habitant, privilégier les rapports humains…

Petit tour d’horizon d’une nouvelle « slow attitude » qui rejoint celle du « slow tourisme » ou du « slow food », des alternatives au ski qu’elle promet et qui existent déjà depuis longtemps dans le Doubs…

Lire l’article original sur Alti-mag.com

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